À la troisième vague d'hommes qui continuaient à marcher, le visage offert, les soldats ont arrêté de tirer. Nous nous sommes assis. Nous étions des centaines, puis des milliers assis sur le sol. La cavalerie a chargé, mais les chevaux ont refusé d'avancer, se sont arrêtés à quelques pas de nous. Qu'importe que nous mourions. D'autres se lèveront avec la foi au cœur. Les Anglais ont perdu. Ils ne le savent pas encore, mais ils ont perdu... Les Indiens goûteront leur sel. Que peuvent des barreaux contre la mer ?